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Etudier ce thème avec Enedis, entreprise marraine du Plato, c’est répondre à une des promesses du réseau. Celui de faire le maillage entre les grandes entreprises et les membres sur un même territoire.
C’est également permettre à deux groupes Plato de se rencontrer. Une belle opportunité de faire connaissance, de réseauter, le temps d’une matinée. Et aussi de partager sa vision sur un même sujet lors de deux ateliers.

 

Qu’est-ce que la RSE ?

Dans un premier temps, l’idée même de cette plénière intergroupe a été d’expliquer la notion même de RSE.

Une entreprise, qui pratique la Responsabilité Sociale des Entreprises, va chercher à avoir un impact positif sur la société. Elle cherche à respecter l’environnement, tout en étant économiquement viable. C’est un équilibre à construire avec l’aide de ses parties prenantes (collaborateurs, fournisseurs, actionnaires ou acteurs du territoire).

Toutes les entreprises, quels que soient leur taille, leur statut ou leur secteur d’activité, peuvent mettre en œuvre une démarche de RSE.

Et pour être exact, depuis l’adoption de la loi Pacte et la modification du code civil en 2019, toutes les entreprises françaises sans exception, doivent « prendre en considération » les enjeux environnementaux et sociaux dans la gestion de leurs activités.

En tant que fournisseurs ou sous-traitants des grandes entreprises, les PME sont de plus en plus incitées à adopter une telle démarche.

Quand une entreprise s’engage dans une démarche de RSE, cela implique qu’elle prenne des mesures concrètes qui permettent de répondre aux enjeux particuliers de son secteur d’activité.

Et si je faisais de la RSE sans le savoir ?

Dans un deuxième temps, les membres ont travaillé en sous-groupe soit sur la RSE sociale soit sur la RSE écologique.  Sandra Cougard  et Morgane Bensaadoun,  ont animé l’atelier sur le sujet de la RSE sociale. Et Erwan Guilbert, celui sur la RSE écologique.

A travers chaque atelier, les membres Plato 35 ont pu poser un diagnostic sur leur entreprise, jusqu’à travailler pour certains sur la matrice de priorisation.

L’idée est ainsi de s’interroger sur :

  • ce que l’on fait déjà,
  • ce qu’on veut arrêter,
  • et ce qu’on veut tenter.

Et aussi permettre à chacun de prendre conscience qu’il fait de la RSE sans le savoir.

Par conséquent comprendre qu’une démarche RSE existe déjà dans son organisation.

En conclusion, avoir à l’esprit qu’un premier pas a déjà été fait, qu’il ne tient plus qu’à eux de l’ancrer pour aller plus loin.